Nos réseaux sociaux en 2017

2017 à été une année forte pour nos réseaux sociaux. Encore tous jeunes et créés courant 2016, nous sommes fiers de leurs évolutions. Ainsi, pour fêter le passage à l’année 2018, nous avons réalisé une petite infographie pour donner quelques chiffres.

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RH Médiation devient Néholys !

A partir du 12 Juin 2017, RH Médiation change de nom et devient Néholys. L’équipe reste la même, seul le nom change !

RH Médiation a été créée en 2009 avec la conviction que l’amélioration des conditions de travail passe par une compréhension globale, holistique, des hommes, des femmes, et de leurs conditions de travail.

Et nous ne sommes pas les seuls à croire en cette approche, vu le succès qu’elle a rencontrée auprès de nos clients dans tous les secteurs d’activité ! Désormais, avec une équipe 3 fois plus nombreuse, nous avons décidé de changer de nom pour mieux refléter nos activités. Nous avons en effet pris en compte que le nom RH Médiation pouvait laisser penser que nous ne pratiquions que des  activités liées aux RH et à la médiation… ce qui n’est pas le cas ! Depuis le début de notre activité il y a 8 ans, nous intervenons en effet sur tous les domaines de la qualité de vie au travail (TMS, RPS…) et nous souhaitons maintenant ne laisser aucun doute à ce sujet ! ?

Quoi de mieux que Néholys, rencontre du mot grec Néo («nouveau») et du mot holistique (notre approche, considérant l’individu dans sa globalité) pour nous représenter ?

Intelligence : quelle est la vôtre ?

Quel genre de personne êtes-vous ? Avez-vous tendance à vous définir comme quelqu’un de rationnel ou plutôt de sensitif ? Aimez-vous la musique, la nature ?

Vous avez certainement vos domaines de prédilection, nous allons les découvrir.

Chaque cerveau est constitué différemment et c’est en acceptant ce principe que l’on peut cerner ses forces et ses faiblesses. La théorie des « intelligences multiples » d’Howard Gardner montre l’existence de huit formes différentes d’intelligence. Cette diversité peut être mise à profit pour développer notre potentiel en jonglant avec ces intelligences.

Démarrer le test : http://bit.ly/2ecc4v1

Pour mieux comprendre votre profil, ci-dessous les différentes intelligences:

  • l’intelligence verbale / linguistique

C´est l’aptitude à utiliser le langage pour comprendre les autres, à exprimer ce que l´on pense et à apprendre les langues. La compréhension rapide de texte et un vocabulaire riche sont des indicateurs d´une intelligence verbale développée. Elle est particulièrement développée chez les écrivains, les poètes, les orateurs, les hommes politiques, les publicitaires, les journalistes, etc…
On reconnaît particulièrement cette intelligence chez quelqu’un qui aime lire, qui parle facilement, aime raconter des histoires et aime en entendre, qui aime les jeux avec des mots.
La plupart des systèmes d’enseignements reconnaissent cette intelligence. Des manques dans cette capacité à mettre en mots sa pensée peut également créer le sentiment d’être incompris 

  • l’intelligence visuelle / spatiale

C’est la capacité à créer des images mentales et à percevoir le monde visible avec précision dans ses trois dimensions.
Elle est particulièrement développée chez les architectes, les paysagistes, les peintres, les sculpteurs…
On reconnaît particulièrement cette intelligence chez celui qui a un bon sens de l’orientation ; chez ceux qui créent facilement des images mentales ; ceux qui aiment l’art sous toutes ses formes ; ceux qui lisent facilement les cartes, les diagrammes, les graphiques ; ceux qui aiment les puzzles, ceux qui aiment arranger l’espace ; ceux qui se souviennent avec des images ; ceux qui ont un bon sens des couleurs ; ceux qui ont besoin d’un dessin pour comprendre…
Si elle n’est pas suffisamment développéeon peut avoir des difficultés dans les processus de mémorisation et de résolution de problèmes. Car les images produites dans le cerveau aident à la pensée et à la réflexion. Pour beaucoup de scientifiques célèbres, leurs découvertes les plus fondamentales sont venues de modèles spatiaux et non de raisonnements mathématiques.

  • l’intelligence musicale / rythmique

C’est la capacité à être sensible aux structures rythmiques et musicales.
Elle est bien entendu particulièrement développée chez les musiciens, les poètes, et dans les cultures à forte tradition orale.
On reconnaît particulièrement cette intelligence chez quelqu’un qui fredonne souvent, bat du pied, chante, se met à danser sur le moindre rythme ; chez ceux qui sont sensibles au pouvoir émotionnel de la musique, au son des voix et à leur rythme ; et ceux qui saisissent facilement les accents d’une langue étrangère.
Si elle n’est pas suffisamment développéeon perd une partie des richesses transmises par les sons, à travers les sons organisés comme dans la musique ou dans les infinies variations du langage.

  • l’intelligence logique / mathématique

C’est la capacité à raisonner, à calculer, à tenir un raisonnement logique, à ordonner le monde, à compter. C’est l’intelligence qui a été décrite avec beaucoup de soin et de détails par Piaget en tant que  » l’intelligence « .
Elle est particulièrement développée chez les mathématiciens et les scientifiques, les ingénieurs, les enquêteurs, les juristes, etc …
On reconnaît particulièrement cette intelligence chez quelqu’un qui aime résoudre des problèmes ; chez ceux qui veulent des raisons à tout, veulent des relations de cause à effet ; ceux qui aiment les structures logiques, et aiment expérimenter d’une manière logique ; chez ceux qui préfèrent la prise de notes linéaire ; etc.
Si elle n’est pas suffisamment développéeon a du mal à organiser des tâches complexes, à donner un ordre de priorité à une succession d’actes ; à comprendre le sens d’une démarche scientifique, à comprendre la signification d’un phénomène ; à démonter un appareil ou un processus pour en comprendre les parties ; à utiliser le raisonnement déductif ; à se servir d’appareils fonctionnant avec une grande logique (comme un ordinateur).

  • l’intelligence corporelle / kinesthésique

C’est la capacité à utiliser son corps d’une manière fine et élaborée, à s’exprimer à travers le mouvement, d’être habile avec les objets.
Elle est particulièrement développée chez les danseurs, les acteurs, les athlètes, les mimes, les chirurgiens, les artisans, les mécaniciens.
On reconnaît particulièrement cette intelligence chez quelqu’un qui contrôle bien les mouvements de son corps ; chez ceux qui aiment toucher, sont habiles en travaux manuels ; ceux qui aiment faire du sport, aiment jouer la comédie ; chez ceux qui apprennent mieux en bougeant, qui aiment faire des expériences ; l’enseignant la reconnaîtra dans l’élève qui se trémousse s’il n’y a pas suffisamment d’occasions de bouger, chez celui qui se lève en classe pour tailler un crayon ou mettre un papier à la poubelle.
Si elle n’est pas suffisamment développéel’enfant comme l’adulte risquent de ressentir leur corps comme une gêne dans de nombreuses circonstances de la vie courante.

  • l’intelligence intrapersonnelle

C’est la capacité à avoir une bonne connaissance de soi-même.
Elle est particulièrement développée chez les écrivains, les  » sages « , les philosophes, les mystiques.
On reconnaît particulièrement cette intelligence chez quelqu’un qui a une bonne connaissance de ses forces et de ses faiblesses, de ses valeurs et de ses capacités ; chez ceux qui apprécient la solitude ; qui savent se motiver personnellement ; qui aiment lire, qui écrivent un journal intime ; qui ont une forte vie intérieure.
Si elle n’est pas suffisamment développéeon a du mal à tirer parti des expériences, à réfléchir sur ce qui a bien marché et comment améliorer ce qui a moins bien marché ; à prendre le contrôle de sa vie, de son apprentissage, à se donner des buts ; on est plus sensible à l’opinion de groupes ; on cherche (et on trouve) un responsable extérieur à ses échecs.

  • l’intelligence interpersonnelle

C’est la capacité à entrer en relation avec les autres.
Elle est particulièrement développée chez les politiciens, les enseignants et les formateurs, les consultants et les conseillers, les vendeurs, les personnes chargées des relations publiques.
On reconnaît particulièrement cette intelligence chez quelqu’un qui entre bien et facilement en relation, se mélange et s’acclimate facilement ; chez ceux qui aiment être avec d’autres et ont beaucoup d’amis, ceux qui aiment bien les activités de groupe ; chez ceux qui communiquent bien (et parfois manipulent), chez ceux qui aiment résoudre les conflits, jouer au médiateur.
Si elle n’est pas suffisamment développéeil y a risque d’enfermement de la personnalité ; on se coupe du plaisir d’être avec d’autres, de travailler ensemble ; on perd des richesses issues du travail en coopération. On risque de devenir aigri, misanthrope, critique de l’humanité dans son ensemble.

  • l’intelligence (du) naturaliste

Elle a été rajoutée aux sept précédentes par Howard Gardner en 1996.
C’est la capacité à reconnaître et à classer, à identifier des formes et des structures dans la nature, sous ses formes minérale, végétale ou animale.
Elle est particulièrement développée chez le naturaliste, qui sait reconnaître et classifier les plantes et les animaux ; chez tous ceux qui s’intéressent au fonctionnement de la nature, du biologiste au psychologue, du sociologue à l’astronome.
On la reconnaît chez ceux qui savent organiser des données, sélectionner, regrouper, faire des listes ; chez ceux qui sont fascinés par les animaux et leurs comportements, qui sont sensibles à leur environnement naturel et aux plantes ; chez ceux qui cherchent à comprendre la nature et à en tirer parti (de l’élevage à la biologie) ; chez ceux qui se passionnent pour le fonctionnement du corps humain, qui ont une bonne conscience des facteurs sociaux, psychologiques et humains.

Pour aller plus loin :

http://www.pourlascience.fr/

http://www.cerveauetpsycho.fr/

http://apprendrealairlibre.com/

L’entreprenariat humaniste

Très proche de la RSE (Responsabilité Sociétale des Entreprises), l’ entreprenariat humaniste repose sur l’implication des entreprises sur leur territoire sous toutes ses formes.

Loin d’être une utopie, des entrepreneurs se sont déjà approprié cette vision de l’ entreprenariat qui bénéficient à la fois à l’intérêt général mais également à l’entreprise elle-même.

Dans le même sens, la RSE est un « concept dans lequel les entreprises intègrent les préoccupations sociales, environnementales, et économiques dans leurs activités et dans leurs interactions avec leurs parties prenantes sur une base volontaire ». Énoncé plus clairement et simplement, c’est « la contribution des entreprises aux enjeux du développement durable »

Face à la nécessaire évolution des modèles économiques actuels, ces concepts apportent des réponses aux besoins collectifs tant de la société civile que des acteurs de l’entreprise.

Entre d’une part, des tensions sociales croissantes génératrices de demandes sociales et solidaires plus prégnantes au sein des entreprises, et d’autre part, des acteurs sociaux, culturels, éducatifs, philanthropiques (…) confrontés à des besoins croissants, des partenariats se dessinent.

Ils ne se contentent pas de répondre à des problématiques, il est source de richesses pour chacune des parties prenantes :

  • Innovation et créativité
  • Motivation des salariés
  • Fierté et sentiment d’appartenance à l’entreprise décuplée
  • avec à la clé une amélioration des conditions de travail, de la compétitivité et de la productivité.

Quelques exemples d’applications concrètes :

  • Le styliste italien Brunello Cucinelli réserve 20% de ses profits pour financer des activités philanthropiques et culturelles. Les recettes sont en hausse et le bénéfice net a augmenté. De quoi lui permettre de continuer à se soucier du bien-être de ses employés payés 20% de plus que ne le prévoit la convention du secteur. Par ailleurs, les salariés bénéficient d’un «bonus culture » (500 € pour les salariés célibataires et 1.000 € pour ceux avec une famille). Toutes les sorties au théâtre, cinéma, musées et les achats de livres sont remboursés sur présentation du ticket de caisse. Une éthique qui se retrouve dans l’organisation du travail avec des horaires de sortie d’atelier qui ne dépassent pas 17h30, une vraie pause déjeuner et l’interdiction de répondre à des courriels ou des appels professionnels hors des heures de bureau. « Il faut s’occuper du corps et de l’âme », répète Brunello Cucinelli à ses 1.400 employés.
  • Des entreprises françaises, précurseurs, l’ont également intégré dans leur culture sous forme de mécénat de compétences (Danone, Orange, SNCF…). Il consiste pour l’entreprise à soutenir des associations d’intérêt général avec leurs salariés. Encouragées financièrement par l’Etat, ces actions de mécénat de compétences peuvent se décliner sous différentes formes.

A chacun d’inventer son modèle…

Pour en savoir plus :

http://www.lesechos.fr/12/04/2016/lesechos.fr/021832768362_ca-se-passe-en-europe—brunello-cucinelli-lance-un-bonus-de-culture-pour-ses-employes.htm#

http://www.developpement-durable.gouv.fr/La-responsabilite-societale-des,45921.html

Instinct de survie et modernité

L’homme moderne est-il dénué de son instinct de survie ?

Dans un monde où l’homme devient sédentaire, le développement ou simplement l’entretien des sens, des capacités physiques et intellectuelles sont diminués voire inexistants.

Notre système nerveux est équipé de capteurs sensoriels (5 sens) qui transmettent des informations au cerveau. Cependant, un manque de sollicitation et/ou d’entrainement de ces capteurs amène un réflexe inconscient face à une situation délicate. Dans la société moderne, l’homme est peu à l’écoute de son corps, il est assisté dans son quotidien. Le réflexe est alors inconscient et des parties du corps (muscles, squelette) sont soumis à de fortes tensions. Nos réactions sont inadaptées et ne nous permettent pas de nous sauver.  L’être humain, dans un environnement confortable, rencontre des difficultés pour développer  le « réflexe conscient de survivre », l’instinct.

L’instinct est un processus qui a lieu dans un environnement sans lois ni règles. Le sens aigu de la perception du danger, de la chasse, de ce qui nous entoure est alors augmenté. L’homme se laisse guider pour survivre, il sent, il ressent les choses pour aller vers ce qui est bon pour lui.

Un homme moderne peut-il retrouver son instinct ? Certaines situations, certains évènements nous prouvent que oui. En atteste l’histoire incroyable de Aron RARLSON racontée dans le film « 127 heures » qui a dû trouver des ressources insoupçonnées pour sauver sa vie.

Face à une agression, un accident, l’instinct peut accroître des capacités physiques et/ou intellectuelles pour se sortir d’un danger.

Les réactions de l’homme sont-elles provoquées par un instinct propre à son espèce ? Peut-on parler de savoirs innés issus de liens familiaux, tels que la calligraphie, l’instinct maternel, les arts martiaux,… Ces apprentissages seront-ils les nouveaux visages de l’instinct de l’homme moderne ou devrons-nous nous confronter face à nous même en pleine nature sans aucun matériel…

Tant de questions qui révèlent ce que nous sommes et chaque femme, chaque homme peut trouver SES réponses. Plus haut, il est évoqué « l’écoute du corps ». Etre attentif à soi mais aussi aux autres est un premier pas pour découvrir ce qui est bon pour soi. Prendre le temps de regarder, de sentir, de voir, d’entendre, de gouter ce qui s’offre à nous est une autre possibilité.

Une tête remplie de projets cumulés, de buts à atteindre, de défis à relever, nous empêche de voir l’essentiel : se donner tous les jours les moyens de trouver le bonheur. Votre instinct sera un allié efficace.

Du sens avec le mécénat de compétences

Staff Working Behind Counter In Busy Coffee Shop

Les salariés sont en quête en sens dans leur travail.

Ils sont de plus en plus nombreux à quitter des postes à responsabilité avec des rémunérations confortables. Pour quoi ? pour se réaliser, donner du sens à leurs actions, agir pour l’intérêt général.

Et pourtant, nul besoin de quitter son entreprise pour donner du sens à son travail.

Le mécénat de compétences donne du sens aux actions du salarié et ce faisant à celles de l’entreprise. Il motive, renforce la cohésion interne, développe la créativité, les compétences et la capacité d’adaptation des salariés. Il véhicule l’image d’une entreprise innovante, responsable, agissant pour l’intérêt général et donc plus attractive.

La question n’est plus de savoir s’il faut agir et comment … elle est de savoir quels seront les premiers à le faire.

Voir :

« crise de l’emploi ou crise du travail ? »

http://www.ouest-france.fr/debats/point-de-vue/crise-de-lemploi-ou-crise-du-travail-4056457

 «ces cadres qui troquent leur carrière pour une association »

http://www.lefigaro.fr/emploi/2015/10/27/09005-20151027ARTFIG00005-ces-cadres-qui-troquent-leur-carriere-pour-une-association.php

« La moitié des Français estiment passer à côté de leur vie » 

http://www.lesechos.fr/idees-debats/cercle/cercle-141263-un-francais-sur-deux-passe-a-cote-de-sa-vie-1164023.php

La France mauvaise en bonheur

The happy smiling caucasian family in the kitchen preparing breakfast

Le premier Rapport Mondial sur le Bonheur mené par l’ université « Columbia University » classe la France à la 23 ème place!

Pourtant c’est en Europe du Nord que les habitants sont les plus heureux :

  1. Danemark
  2. Finlande
  3. Norvège
  4. Pays-Bas
  5. Canada
  6. Suisse
  7. Suede
  8. Nouvelle Zélande
  9. Australie
  10. Ireland
  11. Etats-Unis
  12. Costa Rica
  13. Autriche
  14. Israël
  15. Belgique
  16. Luxembourg
  17. Emirats Arabe Unis
  18. Grande Bretagne
  19. Venezuela
  20. Island
  21. Panama
  22. Espagne
  23. France
  24. Mexique
  25. Brésil

Après le PIB, l’IDH voici le BNB ( le bonheur national brut). En effet, des économistes font pression pour prendre en compte de nouvelles façons de mesurer le succès économique et social. Ce nouvel indice vise à mesurer la qualité de vie et le bonheur dans un contexte plus large que le PIB, par exemple. Le Bhoutan est le premier pays à avoir adopter cet indice.

Pour aller plus loin :

http://www.earth.columbia.edu/sitefiles/file/Sachs%20Writing/2012/World%20Happiness%20Report.pdf

Emission : « J’ai décidé d’être heureux »

Avez-vous un indice de bonheur de 65/100 (moyenne des français) ?

« J’ai décidé d’être heureux » est une des nouvelles émissions de M6.
Le concept ? Six volontaires (un peu caricaturaux) vont essayer d’atteindre le bonheur maximum et vivre une expérience unique à Nantes. Ils sont rejoints par Stéphane Plaza, qui a voulu lui aussi suivre ce protocole. Pour y arriver, 3 coachs sont là pour les guider et les recentrer sur l’essentiel !

Jordi Quoidbach, docteur en psychologie et chercheur à l’université d’Harvard a inventé un questionnaire afin de découvrir l’indice de bonheur pour chaque individu.

Laurence Bidas, spécialiste de la pleine conscience.

Puis, Karim Ngosso, coach et maître en arts martiaux, est en charge de l’hygiène de vie et des émotions positives.

Le but de l’émission est de découvrir une expérience scientifique grandeur nature avec des exercices simples pour apprendre à cultiver le bonheur. C’est un programme innovant de huit semaines composé de tests et de défis personnels. Vont- ils augmenter leur indice de bonheur ? Affaire à suivre…

Qu’avez-vous pensez de cette émission ? Réagissez !

A vous de jouer ! Testez et calculez votre indice de bonheur : http://www.m6.fr/emission-j_ai_decide_d_etre_heureux/testez_votre_bonheur

Pour découvrir l’interview de Stéphane Plaza : http://latoilemediactu.over-blog.com/article-ce-soir-j-ai-decide-d-etre-heureux-sur-m6-a-20h50-114194534.html

La grande conférence sociale pour l’emploi

Le 20 et 21 juin 2013, la grande conférence sociale, ouverte par le Président de la République et clôturée par le Premier ministre, a réuni plus de 300 participants, représentants des organisations syndicales, d’employeurs et des collectivités territoriales.

Un programme qui a permis de traiter différents sujets dont :

  • La mobilisation pour l’emploi et la formation professionnelle, présidée par Michel SAPINministre du Travail, de l’Emploi, de la Formation professionnelle et du Dialogue social.
  • L’amélioration des conditions de travail, prévenir les risques et protéger la santé des salariés, présidée par Najat VALLAUD-BELKACEMministre des Droits des femmes, porte-parole du gouvernement et par Alain VIDALIESministre délégué chargé des Relations avec le Parlement.
  • Le développement des filières et anticiper les emplois de demain, présidée par Arnaud MONTEBOURGministre du Redressement productif.
  • L’avenir des retraites et la protection sociale, présidée par Marisol TOURAINEministre des Affaires sociales et de la Santé.
  • Moderniser l’action publique pour conforter notre modèle de service public, présidée par Marylise LEBRANCHUministre de la Réforme de l’État, de la Décentralisation et de la Fonction publique.
  • Relancer l’Europe sociale, présidée par Thierry REPENTINministre délégué, chargé des Affaires européennes.

Pour ce qui concerne l’amélioration des conditions de travail, les échanges se sont fait en deux temps :

1) La qualité de vie au travail :

  • Suites de la négociation sur la qualité de vie au travail
  • Egalité professionnelle entre les femmes et les hommes: quelles nouvelles voies de progrès?
  • Responsabilité sociale de l’entreprise

2) La santé au travail :

  • Les risques professionnels
  • Les acteurs de prévention (les instances de gouvernance et le mode de coopération entre les acteurs de prévention, la réforme des services de santé au travail, le CHSCT)
  • Les actions de la prévention (agir sur des lieux de travail plus particulièrement exposés, le rôle de la négociation collective pour la prévention de l’usure professionnelle, le maintien dans l’emploi et la prévention de la désinsertion professionnelle)

Si vous souhaitez en savoir plus, cliquez sur ce lien :

http://travail-emploi.gouv.fr/evenements-colloques,2215/la-grande-conference-sociale-pour,2287/

La journée mondiale pour la santé et la sécurité au travail 2013 !

Cette année, la journée mondiale pour la santé et la sécurité au travail avait comme thème la prévention des maladies professionnelles.

L’ Organisation International du Travail (OIT) présente des chiffres alarmants. Selon elle, on estime que 2,34 millions de personnes meurent chaque année de maladies et d’accidents liés au travail. L’OIT précise que sur 6 300 décès liés au travail constatés chaque jour, 5 500 sont causés par divers types de maladies liées au travail. Le Bureau International du Travail (BIT) estime à 160 millions par an les cas de maladies non mortelles mais en lien avec le travail !

Tour du monde

En 2011,

En Chine, 27 240 cas de maladies professionnelles résultaient d’une exposition à des poussières.

En Argentine, ce sont 22 013 cas de maladies, liés aux troubles musculosquelettiques (TMS) et aux maladies respiratoires.

Le Japon a enregistré 7 779 cas de maladies professionnelles en rapport avec des lombalgies et des pneumoconioses et a indemnisé 325 victimes de troubles psychiques.

Au Royaume-Uni, 5 920 cas de maladies professionnelles étaient la pneumoconiose, le mésothéliome diffus et l’arthrose.

Aux Etats-Unis, 207 500 travailleurs avaient été atteints de maladies professionnelles non mortelles (maladies de la peau, pertes d’audition et affections respiratoires).

Au sein de l’Union européenne, les TMS correspondent aux problèmes de santé les plus courants comme le syndrome du canal carpien qui représente 59% de toutes les affections reconnues et couvertes en 2005 par les statistiques européennes sur les maladies professionnelles. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a révélé en 2009 que les TMS étaient à l’origine de plus de 10 % de toutes les années de travail perdues pour incapacité.

Si vous souhaitez en savoir plus, vous pouvez consulter le rapport de l’OIT :

http://www.ilo.org/wcmsp5/groups/public/—ed_protect/—protrav/—safework/documents/publication/wcms_209553.pdf